Les animaux fantastiques (fillm)

les-animaux-fantastiquesSynopsis

New York, 1926. Le monde des sorciers est en grand danger. Une force mystérieuse sème le chaos dans les rues de la ville : la communauté des sorciers risque désormais d’être à la merci des Fidèles de Salem, groupuscule fanatique des Non-Maj’ (version américaine du « Moldu ») déterminé à les anéantir. Quant au redoutable sorcier Gellert Grindelwald, après avoir fait des ravages en Europe, il a disparu… et demeure introuvable.
Ignorant tout de ce conflit qui couve, Norbert Dragonneau débarque à New York au terme d’un périple à travers le monde : il a répertorié un bestiaire extraordinaire de créatures fantastiques dont certaines sont dissimulées dans les recoins magiques de sa sacoche en cuir – en apparence – banale. Mais quand Jacob Kowalski, Non-Maj’ qui ne se doute de rien, libère accidentellement quelques créatures dans les rues de la ville, la catastrophe est imminente. Il s’agit d’une violation manifeste du Code International du Secret Magique dont se saisit l’ancienne Auror Tina Goldstein pour récupérer son poste d’enquêtrice. Et la situation s’aggrave encore lorsque Percival Graves, énigmatique directeur de la Sécurité du MACUSA (Congrès Magique des États-Unis d’Amérique), se met à soupçonner Norbert… et Tina.

Bande annonce

Avis

Inutile de vous dire à quel point j’étais impatiente de voir ce film. Comme toujours on y va la peur au ventre, on a peur d’être déçu. En sortant de la salle de cinéma, j’avais des étoiles plein les yeux!

L’histoire se déroule en 1926, une force mystérieuse terrorise la ville et risque de révéler au monde l’existence de la communauté de sorciers. C’est dans ce contexte que Norbert Dragonneau débarque après un périple à travers le monde pour étudier et sauver les animaux fantastiques. Sa particularité? Il transporte avec lui une valise magique qui regorge de secrets. Quand il fait la rencontre de Jacob Kowalski, de Tina et de Queenie Goldstein… l’aventure ne fait que commencer.

Je dois dire que Les animaux fantastiques nous en met plein les yeux dès les premières secondes du film. C’est avec une grande joie que l’on retrouve l’univers de J. K. Rowling à une autre époque, les années 1920, ce qui rajoute un certain charme au tout. Le film a un visuel époustouflant, avec une 3D très bien faite: Les costumes sont très bien choisis, les animaux fantastiques sont plus vrais que nature et les effets spéciaux rendent cet univers palpable. Les avancées technologiques dans ce domaine ont permis de donner vie à une aventure extraordinaire.

Ensuite, vient l’histoire. Les animaux fantastiques n’a pas qu’un excellent visuel, c’est aussi une intrigue qui tient la route, qui nous tient en haleine du début jusqu’à la fin et surtout arrive à nous surprendre. On avait tout à découvrir et redécouvrir sur le monde des sorciers, plus précisément, ceux d’Amérique qui n’ont pas le même fonctionnement que les sorciers d’Angleterre. On pourra apprendre que les moldus sont appelés des Non-Maj, etc. C’était fascinant de suivre cet univers se construire sous nos yeux et se complexifier. De surprise en surprise, je suis tombée amoureuse une nouvelle fois du monde construit par J. K. Rowling.

Que serait un tel film sans des personnages attachants et originaux ? Sorciers, moldus ou encore bêtes en tout genre, le film est une symphonie parfaite portée par des acteurs qui ont su insuffler de la magie et de la vie à leur rôlesEddie Redmayne (Norbert Dragonneau) doit être un véritable sorcier pour arriver, à chaque rôle, à nous offrir une prestation époustouflante. Il a un petit côté Hagrid que j’ai apprécié. Grâce à lui Norbert existe en chair et en os. Il a ses propres mimiques, son style et une personnalité travaillée et bien pensée. Les autres acteurs ont eux aussi fait de l’excellent travail comme Dan Fogler qui joue le rôle du non-maj Jacob Kowalski, il était hilarant avec son rire si spécial et ses réactions face à la découverte du monde des sorciers.

J’ai adoré aussi certains animaux fantastiques dont un qui s’échappait toujours de la valise pour aller voler tout ce qui brille, un Niffleur. Ou encore le Botruc ( petite créature considérée comme un protecteur des arbres) qui s’est attaché à Norbert et ne le quitte plus. Il m’a fait penser à Groot. Le film met en scène un bestiaire très varié et riche.

Vous l’avez certainement compris, Les animaux fantastiques est un coup de cœur. C’était épique, c’était magique, c’était poétique et drôle, juste ce qu’il faut d’humour. Une extraordinaire aventure, pleine de surprises. Avec un visuel époustouflant, une histoire complexe et plus mâture par rapport à Harry Potter. J’avais vraiment l’impression que le film était destiné aux fans de la saga qui ont grandi mais il reste quand même accessible à tous. Et n’oublions surtout pas la belle brochette d’acteurs dont le talent n’est plus à prouver. De nombreuses scènes deviendront assurément cultes.

Djihane S.

37 commentaires

  1. J’ai tellement hâte d’aller le voir !! 😀 Je suis passée à côté de mon cinéma tout à l’heure et il y avait une jeune femme qui était habillée à la mode sorciers ! La semaine prochaine, je le verrai. Et je reviendrai te dire ce que j’en ai pensé. 😉

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  2. Bonjour,

    Je suis allée voir le film hier soir 🙂
    Mais j’avais une question… A un moment du film, on voit un cadre photo noir et blanc d’une jeune femme qui appartient (?) à Nobert. Qui est-ce ?
    A-t-il une petite amie qui l’attend en Angleterre ? D’ailleurs à un moment, Queenie lit dans ses pensées et il lui dit d’arrêter de le faire. A quoi faisait-il référence ? Un épisode douloureux de son existence ?

    Merci de m’éclairer 🙂

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