Titre: Duellistes : Knight of Flower, tome 2
Auteure: Mai Nishikata
Traducteur: Yuki Kakiichi
Éditeur: Akata
Nombre de pages: 182
Catégorie: shôjo
Parution : 109/05/2019

Résumé

Le quotidien de Ran au sein de l’académie Saint Logres, en tant que Premier Chevalier de Sei, n’est pas de tout repos ! Mais depuis peu, elle peut compter sur le soutien d’Ibara, le fiancé de sa protégée. Et son aide ne sera pas de trop, car dans l’ombre, le président du comité des élèves semble manigancer un plan pour prendre sa place… Entre convoitise et jeux de pouvoirs, qui l’emportera ?

Avis

Chronique du tome 1

J’avais bien aimé le premier tome de Duellistes qui me fait toujours penser à l’ambiance de The vampire knight sans les vampires. Les personnages ont un côté solennel que j’apprécie.

Ran est le premier chevalier qui a pour mission de protéger l’héritière de la famille la plus influente du pays. Sa mission est mise à mal, à chaque tome, par d’autres membres de familles prestigieuses qui veulent prendre sa place. La sécurité de Sei semble également parfois difficile à assurer.

J’ai bien aimé ce tome comme le précédent et je trouve que le personnage de Ran, se démarque vraiment de tous les autres. Je suis donc son évolution avec grand intérêt. Ce jeu entre féminin et masculin qui fait partie de son quotidien est une problématique intéressante à suivre. D’autant plus que j’ai envie de savoir lequel de ces côtés va finir par prendre le pas sur l’autre. Dans ce tome, Ran montre d’ailleurs un peu plus sa sensibilité. Plusieurs événements vont venir le troubler et on sent que le tout fait partie d’une machination dont le but n’est pas encore très clair. Autre personnage intéressant à suivre, Ibara, le fiancé de Sei qui peut nous surprendre malgré le comportement insouciant derrière lequel il se cache.

Un second tome que j’ai bien aimé pour un manga qui reste assez classique avec des personnages intrigants et une histoire qui nous donne assez d’éléments pour titiller notre curiosité. Sans oublier la belle esthétique des dessins de Mai Nishikata.

Djihane S.