First job, New Life !, tome 3

Je remercie les éditions Kanapour cette lecture.
Titre:
Fist job new life!, tome 3
Auteure: Yoko Nemu
Traductrice: Misato Raillard
Éditeur: Kana
Nombre de pages: 200
Catégorie: 
Josei
Parution : 04/09/2020

Résumé

À peine sortie des études, Tama postule dans différentes entreprises en tant que graphiste. Petite, timide et peu sûre d’elle, Tama est surprise d’être engagée dans une boîte de graphisme dédiée aux salles de pachinko. Les horaires de travail sont terribles, les deadlines sont intenables et malgré cela, Tama va progresser petit à petit dans cette entreprise qu’elle n’avait pas choisi au départ.

Avis

Avis tomes 1 et 2

Après avoir beaucoup aimé les deux premiers tomes de la série First job new life, c’est avec plaisir que j’ai voulu me replonger dans la vie de Tama. Même si on suit sa progression dans sa vie professionnelle, on n’a pas le temps de s’ennuyer car oko Nemu nous fait aussi découvrir des tranches de vies dans ce microcosme qu’est l’entreprise. De ce fait, nous avons aussi droit aux différentes histoires entre collègues, le personnel n’est donc jamais loin. Je suis d’ailleurs bien curieuse de voir où va mener le coup de cœur de Tama dans le prochain et dernier tome.

Ce que j’aime également dans cette série c’est que les sujets sont traités avec humour. Que ça soit le coup de mou que l’on ressent parfois, qui nous donne envie de rester chez soi ou les amours des personnages, la mangaka nous prouve qu’elle sait allier sérieux et légèreté.  J’aime également son coup de crayon qui nous offre de de beaux dessins aérés. Je trouve que les visages des protagonistes sont expressifs selon les situations.

En somme, j’ai beaucoup aimé cet avant dernier tome qui nous fait suivre une héroïne adorable que j’ai pris plaisir à voir progresser et s’intégrer au sein de son équipe. Les personnages secondaires sont également très intéressants. oko Nemu leur accorde autant d’importance qu’à Tama. L’histoire est quand à elle très agréable à suivre. C’est drôle et rafraîchissant.

Djihane S.

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