One last stop

Je tiens à remercier les éditions Lumen pour cette lecture.

Titre: One last stop
Auteure: Casey McQuiston
Éditeur: Lumen
Traductrices: 
Mathilde Tamae-Bouhon 
Parution : 
05/05/2022
Catégorie: 
young adult
Nombre de pages: 553

À vingt-trois ans, August s’installe à New York pour échapper à sa mère, avec qui elle entretient une relation compliquée. Cynique et intentionnellement solitaire, elle tombe malgré elle au beau milieu d’un véritable nid de fou : une colocation joyeuse et extravagante, où discussions et fêtes se succèdent. Mais, sceptique, elle ne se laisse pas vraiment toucher par la ville fascinante et insaisissable qu’elle découvre peu à peu.
Et si ce n’était pas déjà assez déroutant, voilà que par un matin de galère, sur le chemin de la fac, elle fait la rencontre d’une certaine Jane qui n’hésite pas à la sortir d’un mauvais pas. August en reste abasourdie : qui est cette fille belle à tomber qu’elle croise et recroise sans cesse sur sa ligne de métro new-yorkais ? En tout cas, la jeune inconnue au blouson de cuir, à la fois mystérieuse et solaire, n’est pas ce qu’elle prétend… Car, là, sur le mur du légendaire diner où August joue les serveuses pour se faire un peu d’argent, le visage de Jane illumine une photo prise… dans les années 1970 ! Comment expliquer ce prodige ?

Avis

August s’installe à New York pour y effectuer ses étude et pour, accessoirement, se détacher un poil de sa mère. Très solitaire, elle se retrouve en colocation avec une joyeuse bande qui va chambouler la monotonie de sa vie. Mais ce n’est rien à côté de la rencontre qu’elle va faire dans le métro Q: Jane, une jeune demoiselle magnifique qu’elle croise souvent sur cette ligne… qui était-elle vraiment? Un début de réponse se profile sur une photo sur le mur du diner où elle travaille. Une photo avec Jane datant des années 1970…

J’ai bien aimée cette lecture. J’ai apprécié le concept développé par l’autrice: une romance surnaturelle qui va amener notre héroïne à s’engager dans une enquête qui va la plonger au cœur des années 1970, une époque riche sur tous les plans. Les découvertes qu’elle va faire ne manquaient pas d’intérêt, d’autant plus qu’elle va déterrer certains secrets qu’elle cherchait depuis des années. J’avais donc envie d’aller jusqu’au bout de ma lecture pour découvrir le fin mot de l’histoire. De ce côté, je n’ai pas été déçue grâce aux révélations que Casey McQuiston nous réserve. Néanmoins, j’ai été moins séduite par la plume de Casey McQuiston, comme cela a été le cas dans My Dear F***ing Prince, il y avait beaucoup d’informations à retenir, ce qui a engendré pas mal de longueurs. Cela dit, j’ai largement préféré  One last stop!

Du côté des personnages, je n’ai pas eu le temps de retenir tous leurs prénoms mais je trouve qu’ils ont des personnalités arc-en-ciel. J’ai apprécié le fait que la communauté LGBT soit largement mise en avant à travers les deux époques évoquées. D’autant plus, que nous avons droit à une très jolie romance entre Jane et August qui ont, toutes les deux, des profils hauts en couleurs.

Un roman que j’ai bien aimé malgré les longueurs qui ont fait que ma lecture manquait de fluidité. La romance surnaturelle entre Jane et August est toute mignonne et bien développée, elle ne manque d’ailleurs pas de rebondissements.

Djihane S.

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