First job, New Life !, tome 4 (série terminée)

Je remercie les éditions Kana pour cette lecture.
Titre:
Fist job new life!, tome
Auteure: Yoko Nemu
Traductrice: Misato Raillard
Éditeur: Kana
Nombre de pages: 200
Catégorie: 
Josei
Parution : 27/11/2020

Résumé

Lors d’une livraison pour l’agence, Tama fait part à Momo de ses sentiments pour son chef. Mais Dômoto est justement caché à l’arrière de la voiture et a tout entendu ! Il préfère ignorer Tama et faire comme s’il ne s’était rien passé… Heureusement que Miyashita est là pour épauler la jeune femme…

Avis

Avis tomes 1 et 2Tome 3

Voici le dernier tome d’une série que j’ai pris plaisir à découvrir. Dernière ligne droite donc pour nos personnages dont Tama qui s’est retrouvée propulsée, brutalement, dans le monde de travail à la japonaise. Les employés ne comptent pas leurs heures et tout ce qui compte c’est le rendement.

Yoko Nemu nous décrit ce monde impitoyable sans pour autant nous ennuyer car, nous découvrons également les amitiés qui se tissent, les malentendus entre collègues et une pointe de romance. C’est cette dernière qui est un peu plus mise en avant dans ce dernier volet, pour ainsi appuyer toute la dimension humaine que l’on retrouve dans ce manga depuis le premier tome.

J’ai beaucoup aimé ma lecture. Le manga nous permet de réaliser les bénéfices du long chemin parcouru par Tama. C’est une jeune femme transformée, plus à l’écoute des autres et surtout d’elle-même que nous retrouvons. Saura-t-elle s’ouvrir enfin à l’amour ? Telle est la question que l’on se pose. Et franchement, la mangaka joue avec nous jusqu’au dernier instant pour nous permettre d’enfin connaitre le choix de notre héroïne.

Au-delà du projecteur mis sur les horribles conditions de travail des japonais, Yoko Nemu veut surtout mettre en avant les personnes, l’humain qui se cache derrière chaque salarié ou stagiaire. Grâce à une jolie galerie de personnalités hétéroclites, j’ai passé un bon moment en compagnie de personnages attachants et d’une histoire attendrissante et parfois drôle. 

Djihane S.

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