Titre: Good Morning Little Briar-Rose, tome 3
Auteure: Megumi Morino
Traducteur: Miyako Slocombe
Éditeur: Akata
Nombre de pages: 172
Catégorie: Shôjo 
Parution : 08/02/2018

Résumé

À force de côtoyer Shizu et ceux qui l’habitent, Tetsu commence à s’attacher à elle. Aussi, pour essayer de lui faire goûter à une vie normale, il décide de l’amener au sein de son lycée. Mais la confrontation de la « jeune fille » avec le monde extérieur et les amis du jeune homme ne risque-t-elle pas d’être sources de nouveaux problèmes ?

Avis

Chroniques: Tome 1, tome 2

J’avais beaucoup aimé les tomes 1 et 2 de Good Morning Little Briar-Rose et ce 3ème tome est toujours aussi intéressant. J’ai été ravie que l’accent soit plus mis sur Testu, ses émotions et les efforts qu’ils déploient pour aider Shizu. Le jeune homme est plein de sollicitude et grâce à lui, Shizu se sent mieux.

Testu décide d’amener Shizu dans son lycée, un dimanche, pour lui faire découvrir un monde dont elle a toujours été privée. Lors de cette immersion, les deux héros vont rencontrer les amis de Testu et le lecteur est plongé dans le passé de l’adolescent et on comprend enfin pourquoi il a abandonné le foot. J’ai aimé faire toutes ces découvertes sur Testu qui est un personnage qui m’a beaucoup touchée. Malgré une vie bien remplie, il trouve le moyen d’aider son prochain. Cela m’a fait de la peine de voir à quel point ça a été difficile d’abandonner sa passion, le foot.

Il n’y a pas que Testsu qui a évolué mais j’ai aimé voir également, Shizu, s’ouvrir un peut plus. L’amitié qu’elle a envie de nouer avec Testu lui donne le courage et la volonté de rester plus dans son corps. Ne pas laisser tout le temps les esprits l’occuper. Je suis toujours fan du concept développé par le manga concernant cette jeune fille qui abrite dans son corps des âmes de défunts.

Un tome 3 réussi et qui met en scène des personnages qui ont beaucoup évolué depuis le tome 1. L’histoire suit sont court et les dessins sont toujours aussi sublimes. J’ai beaucoup aimé ce tome, vivement la suite.

Djihane S.