Je remercie les éditions Kana pour cette lecture.
Titre: Un petit ami trop parfait?, tome 13
Auteure: Mizuki Hoshino
Traducteur: Alice Kukor
Éditeur: Kana
Nombre de pages: 1
Catégorie: Shôjo
Parution :
Résumé
Iroha et Haruki se retrouvent seuls dans la grande maison des Kusakabe… Cela faisait si longtemps qu’ils n’avaient pas pu flirter tranquillement que le sang leur monte très vite à la tête… et Kusakabe a bien du mal à se retenir d’aller plus loin. Mais cette fois, c’est Iroha qui explose ! Son trop-plein d’amour déborde et il faut qu’elle l’exprime ! Leur relation ne cesse d’évoluer vers toujours plus de bonheur !
Avis
Avis: tomes 1 et 2 – Tome 3 – Tome 4 – Tome 5 – Tome 6 – Tome 7 – Tome 8 – Tome 9 – Tomes 10-11-12
Un petit ami trop parfait, c’est fini! Durant 13 tomes nous avons suivi le duo Iroha/Haruki et leur romance aussi mignonne que loufoque. En effet, Haruki a un côté gentil psychopathe qui peut avoir des réactions qui m’ont fait bien rire. Ce que j’ai apprécié aussi, c’est l’évolution d’Iroha: l’innocente adolescente qui ne connaissait rien à l’amour et qui se laisser faire au début de la série, s’est transformée en une jeune fille entreprenante, qui sait écouter ses envies et dire non. A-t-elle été contaminée par la personnalité déviante de son petit ami ou c’est sa propre nature qui a pu s’exprimer ? Telle est la question.
J’ai donc beaucoup aimé ce dernier tome. Il ferme une page dans la vie de nos deux tourtereaux. L’histoire est vraiment sympathique à suivre. Après quelques tâtonnements, je trouve que Mizuki Hoshino a trouvé sa vitesse de croisière pour nous offrir un shôjo tout mignon, drôle et touchant. Chaque tome se lit vite et j’ai passé un bon moment en compagnie des protagonistes de cette série. Premier amour mais aussi toutes les autres première fois, amour, amitié et jalousie sont au rendez-vous.
En somme, voici une lecture sans prise de tête qui mêle humour, tendresse et un poil d’émotion. Nous quittons avec nostalgie Iroha et Haruki mais avec cette fin, nous savons que leur histoire continue.
Djihane.
Les instants volés à la vie 